Formé à l’Atlético de Madrid, Lucas Hernandez représentait à merveille les valeurs des Colchoneros. Toujours à 100% sur les terrains et jamais le dernier à aller au combat, le champion du monde 2018 était très apprécié des supporters. Ainsi, c’est avec surprise et déception que ceux-ci ont vécu son départ cet été. Direction le Bayern Munich, un club totalement différent de celui qui était le sien dans la capitale espagnole, mais qui revêtait pour lui un intérêt supérieur aux autres.
« Il y avait d’autres clubs intéressés et j’avais tout ce qu’il me fallait à Madrid. J’étais très bien là-bas. J’ai tout mis sur la table, j’ai réfléchi, j’ai parlé avec ma famille. Au final, c’était le bon moment pour moi de changer de vie, de ville, de culture, de pays, d’aller voir autre chose. Le Bayern correspond à mon profil, à ma mentalité, à mes ambitions. Les dirigeants et les joueurs m’ont raconté que j’allais intégrer une famille. C’est la vérité », a en effet confié l’international français, dans un entretien accordé au média ‘France Football’ publié ce lundi, quelques heures avant une rencontre décisive avec les Bleus face à la Turquie, au Stade de France.
« Et puis le Bayern est un club historique. Il représente tellement de choses dans le monde. J’ai déjà une belle petite expérience et un beau palmarès, mais je suis un gros compétiteur et je veux remporter encore plus de titres. Le Bayern est une machine à gagner. C’était parfait pour moi. Il y a une vraie progression en venant au Bayern », a ensuite ajouté Lucas Hernandez.
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« Je voulais aussi passer un cap. En allant au Bayern, j’intègre l’un des meilleurs clubs du monde. J’ai voulu me mettre un peu de pression, arriver dans un club différent, où la langue et la culture sont différentes, me mettre en danger, ne pas rester dans mon petit confort de Madrid. En fait, c’est ça, j’avais envie de me mettre en danger », a-t-il confié. Chez le Champion d’Allemagne, Lucas a rejoint d’autres Français, tels que Corentin Tolisso, Benjamin Pavard et Kingsley Coman.
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