Mario Balotelli n’a jamais eu la carrière à laquelle bon nombre d’observateurs le prédestinaient à ses débuts. Doté d’un incroyable potentiel, l’ancien de Manchester City s’est perdu en route. De retour dans sa ville à Brescia pour relancer une carrière en dents de scie, l’Italien alterne entre le chaud et le froid.
Interrogé sur la possibilité d’un départ en fin de saison, l’attaquant ne se ferme aucune porte. « J’ai eu d’autres opportunités, quand Cellino (le président de Brescia, ndlr) est arrivé, j’en ai parlé avec ma maman, elle était heureuse au point de pleurer, Brescia est ma ville, alors j’ai décidé. On verra à la fin de la saison », a-t-il indiqué au Corriere dello Sport.
L’ancien attaquant du Milan AC est revenu sur ses galères du passé notamment ses embrouilles avec ses entraîneurs. « Dans les premières années, je pensais que c’était suffisant de bien jouer et marquer des buts, que le football était là et qu’il ne fallait rien demander de plus. J’ai rencontré des coachs avec qui il y avait de l’harmonie et d’autres qui ne m’ont pas aidé. Je me suis disputé avec Mourinho et Mancini, et je vous parle de ceux qui étaient très important pour moi. À dix-huit ans, je ne comprenais pas, mais je n’ai jamais été stupide. On m’a décrit comme ça ? Les gens trouvent les jugements négatifs plus intéressants » a-t-il poursuivi.
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