Cette fois-ci, il n’y a plus de doutes. Le projet de la Super League européenne, créé par 12 gros poissons du football européen, a pris du plomb dans l’aile. Figure principale de cette nouvelle compétition en compagnie de Florentino Pérez, le président de la Juventus Andrea Agnelli a rendu les armes. Dos au mur, le patron de la Vieille Dame a avoué que la mission s’avère impossible sans les clubs anglais
Officiellement lancée dimanche dernier, la Super League a soulevé un vent de contestation partout en Europe. Et face à la gronde de plus en plus assourdissantes des fans et des acteurs du monde du ballon rond, les écuries anglaises n’ont eu d’autres choix que de jeter l’éponge.
La moitié des équipes engagées ayant quitté le navire, Andrea Agnelli s’est rendu à l’évidence. Questionné sur la poursuite du projet par Reuters, l’Italien a répondu : « Pour être franc et honnête, non. Ce n’est évidemment pas le cas ».
Il faut dire que dans la foulée de l’annonce du retrait des équipes anglaises, l’action de la Juventus a chuté de plus de 10% et ne s’élève plus qu’à environ 0,78 euro.
[totalpoll id= »794558″]BREAKING: European Super League founder and Juventus chairman Andrea Agnelli has revealed that the league can longer go ahead after six English clubs withdrew.
— Sky Sports News (@SkySportsNews) April 21, 2021
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