Le milieu de terrain du Bayern Munich, Joshua Kimmich, n’en a pas encore fini avec ses problèmes liés au COVID. Le 24 novembre, l’Allemand a été testé positif et, n’ayant pas été vacciné, les symptômes se sont aggravés au point d’avoir des infiltrations dans les poumons. Ce qui fait qu’il ne regagnera pas les terrains avant au moins 2022 avec des risques encore plus graves.
D’après le Dr Ingo Frobose, expert en sciences du sport, cette infiltration pourrait avoir des conséquences sur le long terme. « L’infiltration peut être un liquide dans les poumons résultant d’une inflammation, c’est-à-dire une pneumonie, ou l’infiltration peut également être un tissu cellulaire. L’épaississement des poumons est fréquent. La conséquence de l’infiltration est que le volume pulmonaire n’est plus disponible au maximum. Le corps réagit à l’infiltration, donc une inflammation est à prévoir. Cela peut avoir des conséquences énormes si la tension est trop précoce : voire une inflammation du muscle cardiaque. Si Kimmich reprend l’entraînement trop tôt, cela peut avoir de grandes conséquences, voire une inflammation du muscle cardiaque », a déclaré Forbose sur Bild..
« Il y a un risque que la fonction pulmonaire soit affectée à long terme », a-t-il ajouté.
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