De Burgos Bengoetxea parle pour la première fois de ce qui s’est passé avec Vinicius à Mestalla

L’arbitre du match controversé entre le Real Madrid et Valence où Vinicius a reçu des insultes racistes a donné une interview à la Cadena SER.

Près de quatre mois après ce qui s’est passé à Mestalla lors du match entre Valence et le Real Madrid, où Vinicius a été victime d’insultes racistes depuis les tribunes du Ché, l’arbitre de ce match, Ricardo De Burgos Bengoetxea, a donné son point de vue sur ce qui s’est passé ce jour-là.

Il l’a fait lors d’une interview à la Cadena SER. Il a commenté ce qu’il a ressenti et comment il a essayé d’aider le joueur. « Vinicius voulait quitter le terrain et je le comprends. Je lui ai dit de me faire confiance. Je ferais tout pour le protéger parce que c’est quelque chose qu’on ne peut pas permettre. Il m’a fait confiance, j’ai fait ce que j’ai pu et ce qui est sorti de moi en tant que personne parce que ce qui s’est passé n’est pas acceptable« , a déclaré l’arbitre basque.

Rappelons que, lors de ce match, le Brésilien avait été expulsé pour une rixe dans laquelle plusieurs joueurs de Valence étaient également impliqués. Par la suite, le Comité de Compétition avait retiré le carton rouge.

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La FIFA prend une mesure contre le racisme

Le combat contre le racisme prend de nouvelles dimensions fascinantes. La situation de Vinicius Junior en Liga est probablement la situation qui a déclenché les choses auprès de la FIFA. En plus de l’ailier de Madrid, Romelu Lukaku, l’attaquant belge, a également été victime de ces attaques en Serie A. Il a été attaué après la finale de la Ligue des Champions.

La FIFA prévoit de prendre en charge cette situation. L’organisation internationale a publié ce dimanche un rapport basé sur les résultats de son outil de service de protection des réseaux sociaux. Cela est fait en commémoration de la Journée mondiale de la lutte contre les discours de haine. Cet outil a déjà identifié et signalé 19 600 messages de ce type. Pendentif la dernière Coupe du monde 2022, en particulier. De plus, 74 % des cas de discrimination rapportés proviennent d’Europe ou d’Amérique du Sud.