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Imbroglio dans l’affaire Vinicius, la sanction de Valence modifiée !

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Sanctionné pour avoir été le théâtre de nouvelles scènes de racisme contre l’ailier brésilien Vinicius, Valence voit sa peine être réduite.

Dimanche dernier, lors du match entre Valence et le Real, Vinicius a été la cible d’insultes racistes de certains valenciens. Le joueur de 21 ans a été traité de “singe” à plusieurs reprises. Malheureusement pour un spectateur de la tribune Mario Kempès, Vinicius l’a identifié. Sans surprise, ce dernier interdit de stade à vie, ne suivra plus un match de son équipe à domicile.

Face à cette situation intolérable, la Fédération espagnole de football (RFEF) avait sanctionné Valence en ordonnant la fermeture de la tribune Mario Kempès pour cinq matchs. Cette mesure visait à dissuader les comportements racistes dans les stades et à protéger les joueurs victimes.

Réduction de peine pour Valence

Pendant que cette sanction reçoit des jugements mitigés, la fédération espagnole a fait volte-face dans l’affaire Vinicius. Si d’autres jugent insuffisante la sanction, d’autres pensent le contraire. Ce vendredi,  The Athletic annonce que le comité d’appel de la RFEF a accepté partiellement le recours de Valence. A cet effet, il a décidé de réduire la fermeture de la tribune à trois matchs.

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Malgré la réduction, ne média anglais annonce que Valence ne s’arrêtera pas là. Le club espère encore obtenir l’annulation totale de la sanction avant le match crucial pour le maintien ce dimanche contre l’Espanyol.

Un scandale mondial

Il faut rappeler que l’affaire Vinicius a provoqué une vague d’indignation en Espagne et dans le monde du football. Le joueur brésilien a dénoncé sur les réseaux sociaux le racisme “normal” en la Liga. Plus loin, Vinicius a même accusé la fédération et les adversaires d’encourager ce phénomène.

Néanmoins si un départ de Vinicius n’est pas à l’ordre du jour, la Liga, quant à elle, a annoncé avoir porté plainte contre les auteurs des insultes racistes. Elle a ouvert une enquête pour faire toute la lumière sur les faits.

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