Né le 22 juillet 1998 à Montevideo en Uruguay, Santiago Federico Valverde Dipetta a fait du chemin avant d’en arriver là où il est aujourd’hui. Dans l’un des plus grands clubs du monde, si ce n’est le plus grand. Ses parents, notamment sa mère, ont du consentir à d’énormes sacrifices pour que leur fils devient ce footballeur professionnel que l’on ne présente plus dans la planète du sport roi. Dans un entretien accordé à Marca, l’international uruguayen est d’ailleurs revenu sur ces moments difficiles au moment d’évoquer comment il a fêté sa première Ligue des Champions avec sa famille.
«Je l’ai vue un peu parce que les gens de l’UEFA ne l’ont pas laissée entrer sur le terrain, mais quand elle m’a vue, elle m’a fait un gros câlin, les larmes aux yeux. Cette étreinte n’a duré que quelques secondes, mais des milliers de choses nous ont traversé l’esprit à propos de tout ce pour quoi nous nous étions battus ensemble, avec mon père, pour en arriver là. Quand je n’étais personne, nous allions tous les trois partout ensemble, dans le froid, sous la pluie, dans la chaleur. Ils étaient toujours là avec le sourire et l’envie de m’emmener à l’entraînement. C’est moi qui joue, mais mon soutien, c’est ma femme, le bonheur de mon fils et les encouragements de mes parents.», a révélé Federico Valverde.
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