Omar da Fonseca connaît le football, c’est un adepte du bon jeu, du Joga bonito. Ancien attaquant argentin du Paris Saint-Germain, Omar da Fonseca est devenu commentateur à BeiN Sport depuis plusieurs années. Connu comme fan incontesté de Lionel Messi, Omar da Fonseca a surpris le monde entier quand on lui a demandé les noms des trois joueurs qui l’ont le plus marqué. Non seulement l’ancien attaquant argentin a écarté Lionel Messi, il a également zappé Cristiano Ronaldo, le plus grand rival de la Pulga.

Pour lui, les trois joueurs qui l’ont le plus impressionné depuis qu’il suit le football sont le Brésilien Rivelino, l’Argentin Diego Maradona et le Hollandais Marco Van Basten. «Le premier joueur qui m’a marqué, c’est un joueur que vous ne connaissez pas. Il s’appelle Roberto Rivelino. En 1970 il va faire la Coupe du monde avec Pelé, Jairzinho, Tostão, Gerson, une équipe qui s’est imposée. Ils avaient le ballon tout le temps, c’est ma première Coupe du monde et Rivelino c’est un gaucher. Il avait des moustaches comme ça, il avait même la mauvaise haleine. Mais il était magique, une technique, un gaucher, il faisait des feintes, des élastiques, le passement de jambes. Bon le mec, c’est un catalogue, une encyclopédie et il était élégance balle au pied.»

 

Rivelino ensuite Maradona et Van Basten…

Pour un Argentin, forcément Diego Maradona ! El Pibe de Oro était comme un symbole dans le pays, celui-là qui a pratiquement offert à lui-seul, une coupe du monde à l’Argentine. Et ça, Omar da Fonseca s’en souvient.

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«Le 2e joueur qui m’a marqué, C’est Diego Maradona parce que Diego Maradona représente beaucoup pour nous les Argentins, il y avait l’excès, le débordement. Il reste pour nous, une espèce d’icône, une espèce de personnage, il représentait en quelque sorte l’humanité. Les débordements, les irrégularités que nous avons tous. Sauf que lui, il les exprimait, et dans l’extrême.», A-t-il expliqué.

«Mon troisième joueur est européen. Je l’ai toujours admiré parce que tout à l’heure, je parlais des touchers, des finesses délicatesses, et lui il avait une espèce d’élégance, C’est Marco van Basten. J’étais avant-centre et c’est le joueur qui m’a toujours marqué. Je me souviens quand il contrôlait de la poitrine, on aurait dit qu’il faisait de toléros. Chaque fois qu’il contrôlait la balle, t’avais toujours une impression et puis il ne force jamais. C’est un joueur qui m’avait toujours épaté.», a ajouté Omar da Fonseca

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