Il est si bon qu’on l’a surnommé Ô Fenomeno ! Partout où il est passé, Ronaldo Nazario, puisque c’est de lui, il s’agit, a prouvé qu’il était le meilleur joueur au monde à son poste. Avec le Brésil, il a remporté deux Coupes du monde de football. Il aurait pu compter trois comme le Roi Pelé, mais en 1998, Zidane et les Bleus n’ont pas permis aux Brésiliens d’exister en finale. Cependant, Elber, ancien coéquipier en sélection Brésilienne raconte comment Ronaldo étonnait.
Pour Élber Giovane de Souza dit Élber, R9 était un fainéant et ne s’entrainait pas comme il le faut. Malgré ça, l’attaquant passé par le PSV, Barcelone, Inter, Real Madrid et Milan AC devient quelqu’un d’autres lors des matchs.
«Ronaldo était le meilleur. Mais il était si fainéant à l’entraînement. Il ne voulait pas courir ou faire les exercices physiques. Néanmoins, quand les matchs commençaient, il était phénoménal. Il pouvait marquer dans n’importe quelle position. Un talent naturel pur», a lâché l’ex-joueur de l’Olympique Lyonnais pour Four Four Two.
«Le Bayern venait d’acheter Roy Makaay au Deportivo La Corogne cet été-là. Notre coach, Ottmar Hitzfeld, m’a dit que Roy avait coûté cher et qu’il serait l’attaquant n° 1. Il m’a aussi dit que les jeunes Claudio Pizarro et Roque Santa Cruz seraient devant moi dans la hiérarchie. J’avais été le n° 1 pendant six ans alors j’étais un peu énervé. Lyon est arrivé et leur star, Juninho Pernambucano, m’a appelé et m’a dit que je devais venir. Ils construisaient quelque chose de vraiment excitant», a ajouté l’ancien Lyonnais.
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