Président de la FIFA, Gianni Infantino a réagi lundi matin à la scène au Vélodrome qui constitue une honte absolue pour le football français. L’homme fort de la FIFA appelle à de lourdes sanctions.
Soirée de dimanche absolument terrible du côté du stade Vélodrome pour le football français. Le caillassage du bus lyonnais qui a notamment provoqué la sérieuse blessure de Fabio Grosso, touché à la tête, et entraînant l’annulation logique de la rencontre, provoque un vrai choc. Dernier témoignage en date, celui d’un membre du staff de l’OL dans les colonnes de la Provence. « Le bus a été caillassé, les vitres ont été cassées, et ensuite, on a pris des bouteilles de verre. On a d’abord pris les cailloux qui ont cassé plusieurs vitres, à l’avant et à l’arrière, puis 100 ou 200 mètres plus loin, les bouteilles. Ça ne peut pas être une seule personne », raconte avec émotion le membre du staff de Grosso qui souligne qu’il y avait « du sang partout, un truc de dingue ».
La Une choc de @lequipe ce lundi. ⚡️
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« LE DÉGOÛT ET LA HONTE » pic.twitter.com/40enztPefK
Gianni Infantino, le président de la FIFA, a pris la parole ces dernières heures sur les réseaux sociaux, affirmant avec force qu’il n’y a « absolument pas de place pour la violence dans le football ». Dans son message, posté dans une story Instagram en français, Infantino pointe du doigt des événements honteux et réclame de grosses sanctions. « De tels événements, comme ceux survenus à Marseille avant le match de Ligue 1 entre l’Olympique de Marseille et l’Olympique Lyonnais, n’ont pas leur place dans notre sport ni dans notre société et j’en appelle aux autorités compétentes pour veiller à ce que les mesures appropriées soient prises », a-t-il écrit.
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