Licencié de son poste d’entraineur de l’OL, Laurent Blanc a déjà pris parole en public.
Laurent Blanc est revenu sur le devant de la scène ce mercredi après-midi. L’ancien défenseur de l’équipe de France et ancien coach de l’OL était auditionné par l’Assemblée Nationale dans le cadre de la commission d’enquête relative aux défaillances de fonctionnement au sein des fédérations françaises de sport. Sélectionneur des Bleus entre 2010 et 2012, Laurent Blanc a été questionné sur l’affaire des quotas dans laquelle les consignes étaient de sélectionner une majorité de « vrais français » et non des joueurs à la double nationalité.
Les premiers mots de Laurent Blanc après son limogeage à l’OL
Contrairement au fait de se livrer sur son licenciement de l’OL, Laurent a largement abordé l’affaire des quotas dans laquelle les consignes étaient de sélectionner une majorité de « vrais français » et non des joueurs à la double nationalité en équipe de France.
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« Je vais être très clair avec vous. Ce qui me désole, c’est qu’on en reparle que 12 ans après. Il y a eu cette réunion, des amalgames qui ont été faits et on n’en a pas reparlé. Pendant 12 ans, il ne s’est pas passé grand-chose. Ce n’était pas dans mes attributions d’être dans les réunions de la DTN. On m’avait invité car je pense que des gens avaient de mauvaises intentions. Je pensais qu’on allait parler football et développement des jeunes. », a déclaré Laurent Blanc.
Il a continué: « On a poussé plus l’analyse en disant qu’il y avait un pourcentage élevé d’internationaux étrangers. C’était la question des binationaux. C’est là qu’on a été enregistrés. Sur une question à la fin, cette réunion a été très mal vécue, par moi et pas d’autres, car il y a eu des amalgames qui ont été faits et ça a été assez insupportable après. Une fois que le problème a été connu de tout le monde, la FFF voire le ministère auraient dû prendre des décisions pour essayer d’améliorer des choses. »
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