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« C’est est une marionnette sur le banc… », Koeman sévèrement attaqué à Barcelone !

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Après la lourde défaite de Barcelone face à Benfica (0-3), le deuxième en deux rencontres de Ligue des champions, la question n’est pas de savoir si l’entraîneur néerlandais des Catalans Ronald Koeman va prendre la porte mais quand. Ses dirigeants, qui s’exemptent bien vite de leur gestion financière calamiteuse, lui avaient donné trois matchs pour se reprendre après le premier revers en Ligue des champions. Dont celui de Benfica…

Sans surprise, la presse catalane s’est déchaînée contre Koeman après le désastre à Lisbonne. D’abord sur les ondes radio. Comme dans l’émission El Larguero sur Cadena Ser où les voix se sont durcies. « Si le Barça avait de l’argent, Koeman ne serait plus au Barça », a expliqué un journaliste espagnol avant qu’un second ne lui réponde encore plus durement : « Koeman est une marionnette sur le banc que ni ses joueurs ni son président ne respectent. Ce Barça est pourri et Laporta le permet. Personne ne sait à quoi s’accrocher. C’est ce qu’il se passe. C’est humiliant. Personne ne sait à quoi il joue. Laporta n’a pas de plan. C’est le principal problème du Barça, à part le fait que Koeman semble être une catastrophe en tant qu’entraîneur. » Dans la presse écrite catalane, le ton est tout aussi relevé. « Celui qui croyait en la révolution des jeunes a pris un coup sur la tête avant même le coup d’envoi. Le scénario a été toujours le même : sortie européenne et fessée », écrit Mundo Deportivo qui ajoute : « la seule question qui se pose est de savoir si le Barça va le limoger sur-le-champ à trois jours du match face à l’Atlético ». Son concurrent Sport est encore plus dur : dans ses notes, le quotidien a crédité Koeman d’un tranchant 0 sur 10. « Néfaste. Il a tout fait pour être viré. Un repositionnement de Frenkie De Jong pathétique, incapable de corriger la moindre chose. La lumière s’est éteinte. (…) Koeman a creusé sa propre tombe à Lisbonne ».

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Désormais les noms de remplaçants potentiels fleurissent. Xavi, l’ancienne idole du Camp Nou mais surtout l’Italien Andrea Pirlo, passé par la Juventus Turin où il n’a pourtant pas révolutionné le jeu et Roberto Martinez, l’actuel sélectionneur de la Belgique.

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