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Real Madrid : les croustillantes révélations sur la vie du vestiaire des Galactiques

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ESPN consacre un documentaire à l’ère des Galactiques du Real Madrid. Au début des années 2000, Florentino Pérez, fraîchement élu président, s’était offert Luis Figo, Zinedine Zidane, Ronaldo ou encore David Beckham, pour ne citer qu’eux. Une équipe spectaculaire qui avait fait vibrer les socios et les amateurs de ballon rond, mais aussi remporté de nombreux titres : deux Ligas en 2001 et 2003, deux Supercoupes d’Espagne en 2001 et 2003, une Ligue des Champions en 2002, une Coupe intercontinentale en 2002 et une Supercoupe de l’UEFA en 2002.

https://youtu.be/Pp6JlxF81EI

Et du spectacle, il n’y en avait pas que sur le terrain. La vie du vestiaire merengue de l’époque était très agitée, comme l’avait déjà expliqué Roberto Carlos à l’époque. On en apprend un peu plus, grâce à ESPN, sur la teneur des soirées que vivaient les stars madrilènes, et notamment un anniversaire de Ronaldo, resté dans les mémoires. «Ce sont des histoires qu’on ne peut pas raconter », s’est contenté de répondre Ruben Gonzalez, défenseur issu du centre de formation merengue, dans un sourire. Même son de cloche pour Javier Portillo, ancien attaquant formé lui aussi à La Fabrica. «À quoi faites-vous allusion ? Je ne vois pas », a-t-il plaisanté.

Des matches d’anthologie, des soirées de folie

Ivan Helguera, lui, ne s’est pas caché. «C’est vrai qu’il y avait beaucoup plus de femmes qu’on ne le pensait. J’avais emmené mon épouse et elle m’a dit : « on s’en va, on n’a rien à faire ici » », a raconté l’ancien international espagnol. Et Roberto Carlos d’ajouter. «Cet anniversaire a été marqué par l’histoire de l’autobus (avec de très nombreuses invitées). On était une bande de fous», s’est souvenu le légendaire latéral gauche brésilien, laissant la conclusion à un Claude Makelele hilare. «Heureusement qu’on n’avait pas Instagram ou Facebook à l’époque, heureusement !», a-t-il lâché.

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À l’heure des réseaux sociaux, il aurait en effet été difficile pour ces superstars de mener pareil train de vie. Et pourtant, cela ne les a pas empêché de briller de mille feux. Grâce notamment à la gestion d’un certain Vicente Del Bosque. «Il n’y a pas besoin de règles. Pas besoin de nous dire : « il faut que tu te replaces à gauche quand untel fait ça ». Le joueur sait ce qu’il a à faire. Il nous comprenait parfaitement. Les entraînements du lundi et du mardi étaient à 17h. Il ne les mettait pas à 11h parce qu’il savait que tout le monde serait en retard», a-t-il conclu. Une autre définition du sérieux.

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