A la découverte de Fode Sissokho (FC Lyon), ce jeune entraîneur qui rêve de l’équipe nationale du Sénégal !

Né au Sénégal, Fode Sissokho est un jeune entraîneur qui fait ses gammes au FC Lyon en France. Même s’il n’a pas encore acquis une très grande expérience pour exercer dans les plus grands clubs européens, il se voit comme futur entraîneur de l’équipe nationale du Sénégal. Dans cet entretien accordé afriquesports.net, il revient sur son parcours et ses ambitions. Morceaux choisis.

 

Présentez-vous à nos lecteurs…

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Je m’appelle Fode Sissokho, né en 1991 à Pikine, après avoir obtenu mon baccalauréat au lycée Limamoulaye de Guediawaye, j’ai fréquenté l’université Cheikh Anta Diop de Dakar. Deux ans plus tard, j’ai trouvé un chemin pour voyager vers la France. Je suis arrivé à Paris quelques jours, j’ai rallié Lyon où j’ai été accueilli par mon père. Une semaine après, j’ai intégré un centre de football qui se nomme La croix rousse. Un an après, j’ai été contacté par le directeur technique de FC Lyon.

Comment es-tu devenu entraîneur ?

C’est un rêve qui devient réalité. J’ai suivi le chemin de mon père qui est un entraîneur de foot ici à Lyon.

Quels sont tes diplômes d’entraîneur ?

J’ai le brevet d’état d’éducateur de 1ère degré. J’ai aussi le brevet d’entraîneur professionnel, le brevet d’entraîneur de formateur et le brevet d’entraîneur de football.

Quelles sont tes ambitions dans ce métier ?

Mes ambitions c’est d’aller le plus loin possible dans ce métier d’entraîneur que j’aime beaucoup. Comme j’ai dit c’était un rêve pour moi, donc je vais me donner tous les moyens qu’il faut pour atteindre mes objectifs. Un jour demander même équipe nationale du Sénégal.

Quel est ton objectif avec Lyon FC ?

Mon objectif avec Lyon FC, c’est de gagner des trophées avec le club. Je travaille pour cela, on travaille dur pour faire des preuves et gagner des titres.

Comment trouves-tu le football africain ?

Je commence par mon grand pays, le Sénégal d’abord. Le foot sénégalais est connu partout au niveau mondial. Notre seul problème, ce sont les infrastructures sportives. C’est le cas dans d’autres pays africains. Il nous faut de bonnes infrastructures sportives pour que notre football puisse avancer. Par rapport aux européens, tout est complet.