Walid Regragui, à la tête des Lions de l’Atlas, a récemment annoncé sa sélection pour les matchs amicaux de mars, incluant des affrontements contre l’Angola le 22 mars et la Mauritanie le 26 mars.
L’absence d’Amine Harit, milieu de terrain de l’Olympique de Marseille, soulève des interrogations sur sa relation avec le sélectionneur. Cette sélection, qui voit les nouvelles intégrations de Brahim Diaz (Real Madrid) et Eliesse Ben Seghir (AS Monaco), a été marquée par des absences notables, notamment celle de Romain Saïss (Al-Shabab FC) et d’Amine Harit.
Des tensions seraient à l’origine de cette décision, notamment en ce qui concerne le temps de jeu d’Harit lors de la dernière Coupe d’Afrique des Nations (CAN), créant une certaine fracture entre le joueur et Regragui, selon le journaliste Hakim Zhouri.
Bien que Harit ait prouvé son talent au niveau club, sa carrière internationale peine à atteindre les mêmes sommets. Avec seulement un but marqué en 23 sélections pour le Maroc, et des performances en sélection jugées peu convaincantes, son parcours international est en deçà de ses réalisations en club. Sa participation réduite à la dernière CAN en Côte d’Ivoire, limitée à trois entrées en jeu, aurait exacerbé les tensions avec le sélectionneur.
[totalpoll id= »794558″]Malgré une absence remarquée lors de la Coupe du Monde au Qatar, où le Maroc a réalisé un parcours exceptionnel, en raison d’une blessure, Harit, âgé de 26 ans, a encore l’opportunité de s’affirmer au sein de l’équipe nationale. Cependant, pour cette fenêtre internationale, il restera à Marseille, tout comme son coéquipier Pierre-Emerick Aubameyang, également non sélectionné par le Gabon.
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