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Eliud Kipchoge : 220 km de course, un régime particulier…les recettes de champion du recordman mondial

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Le champion kenyan de courses de fond, Eliud Kipchoge est l’une des figures mondiales incontestable de l’athlétisme.

Agé de 38 ans, le marathonien kenyan double médaillé d’or olympique et détenteur du record du monde s’impose un entrainement extrême pour toujours concourir au haut niveau. L’athlète, natif de Kapsisiywa fait la fierté du continent afriacain en dominant de main de maitre les courses de fond. Membre du NN Running Team, une équipe de coureurs professionnels basée au Pays Bas, Kipchoge s’entraîne dur en parcourant environ 220 kilomètres par semaine.

Le double champion olympique du marathon aux JO de Rio (2016) et de Tokyo (2020) a besoin d’une alimentation adaptée pour tenir des heures pendant ses entraînements et ses courses. Cependant, il préfère garder son alimentation simple et principalement locale, près de chez lui à Kaptagat, au Kenya.

Kipchoge suit un régime incroyablement simple composé principalement d’haricots, de fruits et de légumes locaux. Son plat préféré est l’ugali, une bouillie de farine de maïs solide, qu’il mange avec du bœuf maigre et du managu, un légume indigène similaire aux épinards. Il alterne le managu avec du chou ou du chou frisé. Il mange également des haricots et des patates pour faire le plein de glucides. Les jours où il ne mange pas son plat traditionnel, il prend du riz et des haricots rouges. Le repas idéal du champion se conclut souvent par un fruit.

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Son nutritionniste Armand Bettonviel a expliqué l’importance d’une charge en glucides pour les marathoniens et pourquoi ils doivent éviter les produits à grains entiers. Il recommande le riz, les pâtes, les patates, le gruau, les bananes et les pancakes.

En raison de la quantité d’exercice intense qu’il effectue, Kipchoge mange uniquement à des moments spécifiques de la journée et évite le grignotage compulsif. Il préfère garder son régime simple et local. Lorsqu’il est en déplacement, les pâtes sont sa valeur sûre en l’absence de son plat préféré, l’ugali.

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