La CAN 2025, un jackpot inédit pour les sélections africaines.
Le football africain n’a jamais autant rapporté. La prochaine Coupe d’Afrique des nations, qui se déroulera au Maroc du 21 décembre 2025 au 18 janvier 2026, en sera la preuve éclatante. Au-delà du prestige sportif, la compétition est devenue un véritable business planétaire, et les primes promises par la CAF (Confédération africaine de football) atteignent cette année des sommets jamais vus.
Selon plusieurs médias, le vainqueur de la CAN 2025 repartira avec un pactole record de 7 millions de dollars. Une somme astronomique, à laquelle s’ajouteront les primes intermédiaires : 1,3 million pour la qualification en quarts de finale et 2,5 millions pour une place en demi-finale. Soit un gain potentiel dépassant les 10 millions de dollars pour l’équipe qui soulèvera le trophée continental.
Le finaliste malheureux ne sera pas totalement lésé puisqu’il empochera tout de même 4 millions de dollars, sans oublier les primes de parcours. Les demi-finalistes toucheront chacun 2,5 millions, tandis que les quarts de finalistes se consoleront avec 1,3 million de dollars. Même les éliminés en huitièmes repartiront avec une enveloppe de 800 000 dollars.
Et la générosité de la CAF va encore plus loin. Contrairement aux éditions passées, même les sélections éliminées dès les phases de poule ne repartiront pas les mains vides. Le troisième de chaque groupe percevra 700 000 dollars, tandis que le quatrième empochera un demi-million de dollars.
En clair, toutes les équipes engagées à la CAN 2025 toucheront une prime, preuve que la compétition n’est plus seulement un rendez-vous sportif mais aussi un événement économique d’envergure mondiale. Pour les fédérations africaines, parfois en difficulté financière, ces montants représentent une bouffée d’oxygène et un levier pour investir dans le développement du football local.
Entre prestige, spectacle et finances colossales, la CAN 2025 s’annonce donc comme l’édition de tous les records.
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