Un prodige de 17 ans écrase la concurrence : le classement du CIES fait trembler les certitudes
C’est devenu un rendez-vous incontournable pour les passionnés de football et d’économie du sport : le Centre International d’Étude du Sport (CIES) a dévoilé son nouveau Top 100 des joueurs les plus chers du marché. Ce classement, toujours très attendu, reflète les grandes tendances du moment : révélations fulgurantes, déclassements inattendus, et confirmations éclatantes. Et l’édition publiée ce mercredi ne manque pas de faire sensation.
Lamine Yamal, 17 ans, au sommet de la planète foot
C’est lui qui trône tout en haut du classement : Lamine Yamal, joyau du FC Barcelone, est désormais le joueur au plus haut potentiel de valeur marchande selon le CIES. À seulement 17 ans, sa cote atteint les 402,3 millions d’euros – un bond spectaculaire, lui qui était encore estimé à 180,3 M€ en janvier. Cette explosion s’explique notamment par sa prolongation de contrat jusqu’en 2031 et son rôle clé dans le titre de champion d’Espagne récemment acquis.
Le jeune phénomène aura l’occasion de confirmer son statut jeudi soir, lors de la demi-finale de la Ligue des nations face à l’équipe de France. Déjà cité parmi les prétendants au Ballon d’Or, Yamal partagera la scène avec un autre Barcelonais : Ousmane Dembélé, lui aussi en course pour le prestigieux trophée.
Derrière lui : Haaland, Bellingham… et Mbappé en retrait
En deuxième position, on retrouve Erling Haaland, valorisé à 239,6 millions d’euros, suivi de Jude Bellingham (233,8 M€), véritable métronome du Real Madrid. Kylian Mbappé, arrivé lui aussi dans la capitale espagnole cet été, occupe la quatrième place avec une valeur estimée à 192,5 millions d’euros.
S’il reste le Français le plus coté du moment, le Bondynois voit néanmoins une nouvelle génération émerger et lui contester sa suprématie. Malgré un Soulier d’or européen et un titre de Pichichi cette saison, sa place au pied du podium illustre un basculement générationnel.
Le classement du CIES, loin d’être anecdotique, reflète une profonde transformation des hiérarchies et pousse à la réflexion : l’avenir du football appartient déjà à ceux qui ont à peine atteint la majorité.
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