L’ancienne star de Chelsea, Carlo Cudicini, a désigné son ancien coéquipier Didier Drogba comme l’un des meilleurs attaquants de la Premier League de tous les temps.
Il a également reconnu le talent de la légende de Manchester United, Ruud van Nistelrooy, mais a choisi le héros d’Arsenal, Thierry Henry, comme attaquant contre lequel il craignait de jouer pendant sa carrière.
Cudicini a joué un total de 161 matchs de Premier League en 13 saisons pour Chelsea et Tottenham Hotspur.
Le gardien de but italien a remporté deux FA Cups, deux Football League Cups et deux Community Shields au cours de ses neuf années passées à Stamford Bridge.
[totalpoll id= »794558″]« J’ai eu le plaisir de jouer aux côtés de l’un des meilleurs attaquants de Premier League de tous les temps en la personne de Didier Drogba ; j’ai dû l’affronter chaque jour à l’entraînement et il est si facile de comprendre pourquoi il est si bien noté », a-t-il déclaré à Ladbrokes.
« J’ai ensuite joué contre lui en FA Cup lorsque j’ai signé à Tottenham – il a marqué contre moi en demi-finale. Après m’être entraîné avec lui pendant toutes ces années à Chelsea, je ne peux que compatir avec tous les gardiens qui ont eu à l’affronter.
« En dehors de mes coéquipiers, il est difficile de ne pas mentionner Ruud van Nistelrooy lorsque je pense aux adversaires les plus difficiles que j’ai rencontrés.
« Il avait cette façon incroyable d’être toujours au bout de n’importe quelle balle qui était mise dans la boîte. Il était toujours dans la bonne position, et c’est ce qui le rendait si spécial.
« Mais pour moi, le seul nom que je n’ai pas peur de dire que je craignais était Thierry Henry. Beaucoup de gens n’aiment pas utiliser le mot « peur » dans le football, mais je détestais absolument jouer contre Henry.
« C’était un génie à bien des égards ; il était si imprévisible et si difficile à lire. Sa vitesse et son intelligence étaient inégalées ; il avait tout.
« À l’époque, Arsenal et Chelsea se disputaient toujours le haut du tableau, alors chaque fois que nous les affrontions, c’était une grande occasion, et vous saviez qu’il était le genre de joueur qui s’épanouissait dans ces circonstances.
« J’ai joué plusieurs fois contre lui et je ne pense pas avoir affronté quelqu’un de meilleur ».
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