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Coman révèle qu’il est un fan de Bolton, il a grandi en regardant Jay Jay Okocha et Kevin Nolan

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Il est l’un des joueurs les plus décorés du football mondial. À 26 ans, Kingsley Coman a remporté un titre de champion à chaque saison de sa carrière professionnelle.

En fait, l’international français a remporté 10 titres de champion en 10 saisons depuis qu’il a débuté sa carrière senior au Paris Saint-Germain, à l’âge de 16 ans.

Il a connu un nouveau succès la saison dernière lorsque le Bayern a été sacré champion de Bundesliga pour la dixième année consécutive.

Qu’il s’agisse de marquer le but de la victoire en finale de la Ligue des champions contre son ancien club, le PSG, ou de remporter des titres de champion d’Italie, d’Allemagne et de France, Coman continue de connaître le succès dans le football de club.

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Qui avez-vous admiré en grandissant ? L’attaquant du Bayern a cité Ronaldinho et Franck Ribéry comme ses idoles et personne n’a sourcillé, mais qu’en est-il de Jay-Jay Okocha et Kevin Nolan ?

Dans une interview accordée à ESPN, Coman s’est ouvert sur le club anglais qu’il a « soutenu » en grandissant – et cela pourrait en surprendre plus d’un.

L’ancien ailier de la Juventus a été interrogé : « Si tu devais soutenir une équipe au Royaume-Uni, qui ce serait ? ».

Après avoir pris quelques secondes pour assimiler la question, Coman a répondu : « Bolton » avant de rire un bon coup de la réponse. « J’aimais bien cette équipe quand j’étais jeune », a-t-il ajouté.

L’âge de Coman suggère qu’il a probablement grandi en regardant des joueurs comme Kevin Davies, Ricardo Gardner et Jussi Jaaskelainen dans une équipe de Sam Allardyce qui a terminé 6e lors de la campagne 2004/05.

La révélation de Coman sur son amour pour Bolton a suscité de nombreux commentaires sur les médias sociaux.

Un fan a commenté : « Kevin Nolan et Kevin Davis inspirent une génération », tandis qu’un autre a écrit : C’est comme John Carew qui soutient Scarborough. »

Un troisième a dit : « Il court dans une banlieue parisienne en se faisant passer pour Henrik Pedersen », et un quatrième a écrit : « Un poster de Tal Ben Haim sur le mur de sa chambre ».

 

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