Deschamps sort du silence et règle ses comptes avec Mbappé !

Lors d’un point presse avec plusieurs médias, Didier Deschamps a été interrogé sur plusieurs sujets, y compris le cas délicat de Kylian Mbappé.

Ce dernier, en grande forme après son but contre Manchester City en Ligue des Champions, a récemment traversé une période plus compliquée, notamment auprès des fans du Real Madrid et de l’équipe de France.

Alors qu’il était critiqué, particulièrement pour ses absences en octobre et novembre, Mbappé n’a pas vraiment clarifié ses raisons. En octobre, on disait qu’il avait voulu se concentrer sur sa forme physique après un début de saison difficile au Real Madrid, et en novembre, son absence avait été liée à une polémique extra-sportive concernant une sortie en boîte de nuit à Stockholm. Kylian avait cependant précisé que la décision de son absence relevait de la compétence du sélectionneur et qu’il se rangeait derrière lui.

Dans ce point presse, Deschamps a défendu son capitaine, affirmant que son rôle de leader n’était en aucun cas remis en question. Il a souligné que Mbappé avait bien assumé sa position après les départs d’Hugo Lloris et Raphaël Varane, et que l’automne ne changeait rien à son leadership. Il a également précisé que Kylian porterait le brassard lors du prochain rassemblement en mars, lors des quarts de finale de la Ligue des Nations contre la Croatie.

En ce qui concerne les absences de Mbappé, Deschamps a expliqué que l’attaquant n’était pas totalement rétabli en octobre et que, après des échanges avec les staffs médicaux, il avait été décidé de ne pas l’appeler. Il a aussi évoqué l’absence de novembre en précisant qu’il ne pouvait pas tout révéler sur les échanges privés avec ses joueurs. Pour lui, ces absences n’étaient pas une sanction, mais une décision basée sur la forme de Mbappé et les discussions qu’ils avaient eues.

Deschamps a souligné que l’embrasement médiatique autour de l’absence de Mbappé en octobre avait été excessif, rappelant qu’il avait eu des échanges avec le joueur pendant cette période. Il a conclu en affirmant que, malgré les spéculations, cette situation n’avait pas été aussi grave qu’elle avait pu paraître.