PSG : Nasser Al-Khelaïfi cité dans un nouveau scandale !

Le Président du PSG, Nasser Al-Khelaïfi est encore cité dans un scandale, qui pourrait bien entacher son image.

Lobbyiste franco-algérien, Tayeb Benabderrahmane a livré sa version des faits ce jeudi. Il accuse le Qatar d’arrestation arbitraire, alors qu’il possédait des informations confidentielles sur les conditions d’attribution de la Coupe du monde au Qatar, mais aussi sur le patron du club parisien. .

Possédant une vidéo intime du dirigeant parisien, mais aussi des informations confidentielles sur la Coupe du monde au Qatar, Tayeb Benabderrahmane affirme avoir été arrêté arbitrairement à Doha en janvier 2020.

« En 2018, je suis embauché par le Dr Ali bin Samikh al-Marri, qui est depuis devenu ministre du Travail, au sein du comité national pour les droits de l’homme du Qatar. Le Dr al-Marri m’avait aussi demandé de faire des recherches sur les investissements de l’émirat en France et j’ai découvert des choses qui concernent le PSG. Je suis convaincu que mon arrestation est due à la collecte de ces informations sensibles qui n’ont rien à voir avec les faits que l’on me reproche devant la justice française » s’est expliqué Tayeb Benabderrahmane. Il confie au Parisien, avoir été torturé.


« Le 13 janvier 2020, en pleine partie de tennis, je suis arrêté par une quinzaine d’agents sans qu’on m’explique les motifs. Je suis menotté et conduit à mon domicile où une perquisition est en cours, puis transféré vers un lieu inconnu. On m’installe dans une cellule de 2 m2 sans fenêtre avec la lumière allumée en permanence. Je suis régulièrement conduit dans une salle où, les yeux bandés et les mains entravées, je suis obligé de me tenir debout face à un mur plusieurs heures . Je devrais attendre plusieurs jours avant d’être interrogé » déclare-il.

Ceci, serait bien suffisant pour que le Parquet de Paris se décide à ouvrir une information judiciaire.

Finalement, Benabderrahmane a été libéré après avoir conclu un accord avec Nasser Al-Khelaïfi.


« Ma libération n’a été possible qu’après la conclusion d’un accord en France entre mes avocats de l’époque et ceux de Nasser Al-Khelaïfi conclu le 10 juillet 2020. J’ai été forcé de remettre un grand nombre de supports numériques en ma possession contenant toutes mes recherches depuis 2015 (…) J’ai été broyé au nom d’une lutte de clans interne au Qatar » a lâché l’homme, mis en examen, aussi, pour corruption, trafic d’influence, faux et usage de faux, recel et complicité d’accès frauduleux dans un système de traitement automatisé de données dans une affaire d’espionnage au PSG


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