L’international uruguayen Federico Valverde s’est retrouvé au centre d’une polémique au Real Madrid après avoir débuté sur le banc lors de la victoire en Ligue des champions face au Kairat Almaty.
Une rumeur – rapidement démentie par le joueur – affirmait qu’il avait refusé de dépanner au poste d’arrière droit en raison des absences de Trent Alexander-Arnold et Dani Carvajal. Malgré son démenti, l’affaire a provoqué de nombreuses réactions, dont celle du journaliste Roberto Gomez. Sur les ondes de Radio Marca, ce dernier a vivement critiqué la gestion de Xabi Alonso vis-à-vis de son capitaine.
« Ce qui me dérange, c’est l’attitude de Xabi Alonso envers Valverde. Un jour, il est latéral, un autre au milieu, puis relégué sur le banc. Je n’accepte pas que l’entraîneur traite ainsi un joueur aussi important pour l’équipe », a fustigé Gomez.
Le journaliste a même suggéré que la mise à l’écart de Valverde, tout comme celle de Jude Bellingham, relevait d’une sanction interne consécutive à la défaite dans le derby madrilène contre l’Atlético. « Son absence, en même temps que celle de Bellingham, ressemble à une punition interne. Ce qu’Alonso a fait avec Valverde est d’une sévérité excessive, presque incompréhensible », a-t-il dénoncé.
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Sous Carlo Ancelotti, Valverde était l’un des piliers indiscutables du Real Madrid, rarement remplacé lorsqu’il débutait. Mais depuis l’arrivée d’Alonso, son rôle apparaît plus instable.
Si le Real a bien entamé sa saison, cette controverse, née au lendemain du revers face à l’Atlético, révèle quelques tensions internes que l’entraîneur espagnol devra rapidement apaiser afin de préserver l’équilibre et les performances de son groupe.
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