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Une icône du Real s’en prend à Mbappé : Ancelotti n’est pas le problème !

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Cette saison, le Real Madrid n’a pas été à la hauteur en Ligue des Champions. Après une phase de groupes déjà laborieuse, les Merengues ont complètement sombré en quarts de finale face à Arsenal.

Dominés dans tous les compartiments du jeu, les hommes de Carlo Ancelotti n’ont jamais semblé en mesure d’inquiéter des Gunners bien plus convaincants. Une élimination qui a fait l’effet d’un séisme dans la capitale espagnole, où critiques et remises en question ont fusé de toutes parts.

Une icône du Real s’en prend à Mbappé : Ancelotti n’est pas le problème !

Sur la sellette, Carlo Ancelotti a vu une partie des supporters réclamer son départ, malgré son palmarès impressionnant et ses réussites passées à Madrid. Si son avenir au Real demeure flou, l’Italien peut néanmoins compter sur un soutien de poids : celui de la légende transalpine Arrigo Sacchi.

Dans un entretien accordé à Marca, l’ancien entraîneur mythique de l’AC Milan a pris la défense d’Ancelotti et n’a pas mâché ses mots, ciblant notamment Kylian Mbappé et le président Florentino Pérez.

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« Ce qui me peine, même si cela fait partie du football, c’est que tout le monde s’en prend à Carletto pour cette élimination. Mais savent-ils seulement qui est Ancelotti ? Ont-ils conscience de ce qu’il a accompli ? Pour moi, c’est un maître du football, pas seulement pour ses titres, mais pour ses qualités humaines. Le Real devrait bien réfléchir avant de se séparer d’un tel homme. »

Une icône du Real s’en prend à Mbappé : Ancelotti n’est pas le problème !

Sacchi a également égratigné Kylian Mbappé, dont les débuts madrilènes n’ont pas convaincu :

« Ils ont recruté un attaquant censé être un phénomène, mais il n’a pas joué comme tel. »

Quant à Florentino Pérez, l’ancien directeur technique du Real n’a pas hésité à souligner ses préférences discutables :

« Je connais bien le Real et Florentino. C’est un grand président, mais il se focalise trop sur les attaquants. Pour qu’il accepte de recruter Sergio Ramos à l’époque, il m’a fallu me battre pendant trois mois, car il ne se soucie même pas des défenseurs. »

Le message est clair : entre crises de résultats, choix contestés et pression populaire, le Real Madrid est à un tournant.

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