Les joueurs ont parfois des histoires ou anecdotes avec le numéro de leurs maillots. Cela peut être un chiffre en rapport avec le mois de naissance, une année qui a marqué, une date d’anniversaire ou le hasard tout simplement. Certains ont des dossards qui n’ont rien à voir avec le poste qu’ils occupent sur le terrain.
C’est le cas du meneur de jeu Pascal Feindouno. Durant toute sa carrière avec le Syli National, l’ancien stéphanois a porté le numéro. Un choix curieux puisque habituellement, ce numéro est réservé aux défenseurs. Dans un live sur Facebook, il est revenu sur l’anecdote derrière ce numéro 2 avec Sportsguinéens.
“Ma première sélection, tous les numéros étaient déjà réservés et les maillots floqués. Le 10 pour Titi Camara, le 3 pour Salam Sow…etc. Et moi je suis un milieu de terrain, je cherchais un numéro. J’avais le 14 à Bordeaux et je voulais le même en équipe nationale. Mais en sélection, c’est Ousmane Ngom qui avait le numéro 14. J’ai dis merde. J’ai demandé à l’intendant, je lui ai dit je ne veux pas de problème. Je lui ai demandé de me trouver un numéro au hasard, un numéro qui n’est pas pris. Il a commencé à citer les numéros… et directement j’ai dis donne moi le numéro 2. C’est comme ça j’ai hérité de ce numéro. Personne ne me l’a donné hein”, a-t-il confié.
Pascal Feindouno n’était pas le seul dans le cas. Au Nigéria, Kanu portait le numéro 4 alors qu’il était un attaquant.
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