Passements de jambes, roulettes, coup de patte, Ronaldinho, c’est la magie du football résumée en quelques gestes. Symbole du « jogo bonito » qui procure tant de plaisir aux supporters, la légende brésilienne a marqué de son empreinte l’histoire du Barça. Un club qu’il porte toujours dans son cœur.
S’il a plus défrayé la chronique ces dernières semaines en raison de l’affaire des faux passeports au Paraguay, du côté de la Catalogne, l’on n’oublie pas tous les moments de génie du ballon d’or 2005. D’ailleurs, il est empreint de nostalgie au moment d’évoquer son passage au Barça.
« Il y a des nuits où je me couche en me demandant comment le temps a-t-il pu passer si vite. À quel moment suis-je devenu vieux ? Je n’oublie pas les moments où je sortais le samedi, ou quand chaque match de Liga avec Barcelone. Je n’oublie pas quand on jouait le Clasico contre le Real Madrid. Ce sont des moments que tu ne peux jamais oublier », a-t-il indiqué.
Avant d’enchainer, « Quand je jouais au Barça, j’étais l’homme le plus heureux du monde, je ne voulais jouer que sous ces couleurs. Quand les gens m’applaudissaient à chaque dribble, chaque fois que je faisais une bicyclette ou une rabona, c’était magique… Je pleure de mélancolie quand je pense aux moments forts avec le plus grand club de l’histoire. Mon cœur est Blaugrana jusqu’à la mort. »
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