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« Je ne pouvais pas aller taper à la porte d’Arsène Wenger pour lui dire que je devais jouer » Marouane Chamakh

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Passé par Arsenal entre 2010 et 2013, l’ancien international marocain Marouane Chamach fait partie des meilleurs joueurs de l’histoire des Lions de l’Atlas. International marocain à 65 reprises, le joueur aurait inscrit au total 18 buts.

Le natif de Tonneins est revenu sur sa période à Arsenal. Sa concurrence avec Robin Van Persie et ses expériences avec Arsène wenger.

 

« Je profite de sa blessure lors des premiers mois. Oui, il y a toujours eu Robin Van Persie pour me barrer la route malgré mes prestations. C’est quelque chose que j’ai accepté, que je ne l’ai pas caché. J’ai profité de sa blessure pour connaitre le championnat anglais, ça s’est super bien passé les six premiers mois, jusqu’à ce qu’il revienne. Je n’ai pas forcément compris au début que c’était lui le titulaire indiscutable. Le Boxing Day est arrivé, Arsène m’a dit qu’il allait me mettre au repos et qu’il allait intégrer petit à petit Robin. Et voilà, il marquait but sur but, et de façon objective je ne pouvais pas aller voir Arsène Wenger et lui dire que c’était moi qui devais jouer. Robin Van Persie était meilleur que moi, dans tous les domaines. Ce que je voulais, c’était avoir un peu plus de temps de jeu, rentrer plus souvent. C’est le seul regret, peut-être de ne pas avoir été associé à lui, mais Arsène Wenger était sur un schéma tactique avec trois attaquants, et pas deux pointes. Si on avait été associé avec Robin, comme on avait un jeu différent, je pense qu’on aurait pu marcher ensemble. Je me suis tu, j’ai travaillé pendant longtemps. Mais c’était impossible pour moi d’aller taper à la porter d’Arsène pour lui dire que je devais jouer. Robin était meilleur que moi ».

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Commentaires

Une réponse à “« Je ne pouvais pas aller taper à la porte d’Arsène Wenger pour lui dire que je devais jouer » Marouane Chamakh”

  1. Avatar de Chameau
    Chameau

    Il aurait fallu voir les choses comme un gagnant et dire :<>. Ainsi, l’idée d’aller à la porte de Wenger ne traverse même pas l’esprit, c’est Wenger lui-même qui l’aurait invité à manger à la table des Grands.

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