L’actuel joueur du Betis, Isco, parle de son passage au Real Madrid et des deux milieux de terrain, Kroos et Modric.
Isco a été l’un des joueurs qui ont fait partie d’une grande époque au Real Madrid : celle des trois Ligues des champions consécutives. Le meneur de jeu a connu une fin de carrière au club qui n’a pas été à la hauteur de tout ce qu’il avait apporté les années précédentes, ce que beaucoup considèrent aujourd’hui comme injuste.
Mais c’est Isco lui-même a levé les doutes sur ses dernières années au Real Madrid dans une interview accordée au média saoudien Koora. Le « 22 » du Betis a clairement indiqué que sa dernière étape au club ne l’avait pas affecté autant qu’on le pensait, car il veut toujours jouer au football au plus haut niveau : « Je suis passionné par mon métier, jouer au football est ce que j’aime, et quand j’ai décidé de m’arrêter quelques mois, je l’ai fait pour me préparer mieux que jamais à tous les niveaux« .
Isco est devenu quelqu’un de nouveau
Ce désir de changement s’est manifesté clairement au cours de cet été, durant lequel nous avons pu voir l’ancien joueur des Blancs s’entraîner dans le gymnase avec un rythme de travail important qui, aujourd’hui, avec le maillot vert et blanc, porte ses fruits : il a récolté trois MVP consécutifs lors des trois premières journées de la Liga avec sa nouvelle équipe.
[totalpoll id= »794558″]Cependant, les souvenirs de son passage au Santiago Bernabéu sont trop importants pour être laissés de côté. Bien qu’Isco se souvienne avec émotion de son passage au club, il estime que « le football est complexe et qu’il faut savoir s’adapter à toutes les situations. Je n’ai pas l’impression d’avoir été traité injustement ces dernières années« .
Le fait que Isco ait pu réorienter sa situation correspond à cette nouvelle mentalité qu’il semble avoir et qui était absente au Real Madrid. Le contexte, selon Isco lui-même, n’était pas non plus le plus favorable en raison de la présence de Luka Modric et Toni Kroos, deux joueurs en pleine force de l’âge et offrant une « concurrence extrêmement élevée« , ce qui l’a amené à reconnaître qu’ »il aurait dû partir il y a plus longtemps« , lorsque les dirigeants blancs lui ont présenté la première opportunité.
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