Mauricio Pochettino, Lionel Messi, Marquinhos et Neymar sont sous le feu des projecteurs depuis l’élimination surprise du Paris Saint-Germain en huitièmes de finales de la Ligue des Champions par le Real Madrid. L’attaquant brésilien lui, est de loin la cible préférée des attaques. Sévèrement critiqué par la presse française au lendemain de la Remontada en terre madrilène, le numéro 10 parisien n’a pas été non plus épargné par la presse de son pays.
«Neymar, à 30 ans, n’est pas ce qu’on attendait de lui quand il en avait 20. Il n’est pas le meilleur du monde. Il n’est plus décisif. Et Tite a misé tous ses jetons sur lui. Il n’y a pas de plan B», s’inquiétait notamment le journaliste Menon dans des propos relayés sur UOL Esporte. Régulièrement blessé, souvent en deçà des attentes et ne pouvant se targuer que de quatre buts en Ligue 1 depuis le début de la saison, l’ancien génie du Barça semble avoir perdue sa magie. Et depuis le fiasco de Madrid, la chronique, il la défraie. Avec respect pour certains.
«Neymar a fait une bonne première période contre le Real, il s’est parfaitement mis au service de Mbappé. En deuxième mi-temps, il a plongé. (…) Neymar est revenu de blessure après 78 jours à l’infirmerie. Il peut mieux jouer lors du Mondial. Mais attention ! Les Qatariens misent sur Neymar depuis cinq ans. Neymar n’a plus que huit mois pour parier sur le Qatar», relevait ainsi Paulo Vinicius Coelho dans «A Folha de São Paulo».
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