Le Barça à la Coupe du monde des Clubs ? La réponse évidente de la FIFA !

Le tournoi approche, mais la polémique enfle déjà. La Coupe du Monde des Clubs 2025 se jouera sans le Club León. La FIFA a tranché : le club mexicain ne remplit pas les critères de propriété. Une décision qui redistribue les cartes… mais pas en faveur du FC Barcelone.

C’est une affaire réglementaire qui fait du bruit. Le Club León, ainsi que le CF Pachuca, ont été épinglés pour non-respect des règles sur la propriété multi-clubs. La FIFA a officialisé leur exclusion par un communiqué tranchant. « Le Club León ne remplit pas les critères de propriété multiclubs énoncés à l’article 10(1) du Règlement de la Coupe du Monde des Clubs », précise la Fédération. Résultat : la FIFA décide de le remplacer. Mais pas n’importe comment.

Plutôt que de repêcher un autre club directement, la FIFA mise sur un match de barrage. Le Club América affrontera le Los Angeles FC pour déterminer le remplaçant du Club León. Deux finalistes de la Ligue des champions de la CONCACAF 2023, choisis pour leur classement et leur parcours.

Le Barça tente sa chance… en vain

La nouvelle a immédiatement fait réagir Barcelone. Selon Defensa Central, Joan Laporta a tenté de positionner son club comme potentiel remplaçant. Mais la FIFA reste ferme. Malgré l’absence d’annonce officielle, Gianni Infantino ne compte pas faire d’exception. Le FC Barcelone n’a pas les résultats nécessaires pour prétendre à une place dans ce tournoi. Même tentative avortée du côté de la Liga Deportiva Alajuelense du Costa Rica, qui espérait profiter du vide laissé par León. Là aussi, échec.

La FIFA veut éviter tout flou juridique. Un recours a été déposé par le Club León devant le Tribunal arbitral du sport. Mais pour l’instant, l’instance mondiale avance sans attendre. La Coupe du Monde des Clubs 2025 promet d’être intense. Le Real Madrid et l’Atlético représenteront l’Espagne. De nombreux cadors européens seront présents. La CONCACAF, elle, doit encore clarifier la situation avec ce match de barrage inédit. Gianni Infantino, lui, veut faire de cette édition une vitrine mondiale du football de clubs. Mais la préparation est semée d’embûches. Entre exclusions, appels et règlements flous, la FIFA marche sur une corde raide.