Bien que le Real Madrid ait parfaitement réagi à sa défaite dans le derby madrilène en écrasant le Kairat Almaty (5-0), la polémique autour de Federico Valverde continue d’agiter les débats. Au point que Florentino Pérez a dû intervenir personnellement pour calmer la situation.
La controverse est née après que le milieu uruguayen aurait montré sa réticence à évoluer au poste d’arrière droit, un rôle que Xabi Alonso envisageait de lui confier, notamment face aux Kazakhs. Resté sur le banc malgré un passage à l’échauffement, Valverde est apparu contrarié, alimentant les spéculations.
Face à l’ampleur prise sur les réseaux sociaux, l’international uruguayen a publié un communiqué assurant n’avoir jamais refusé de jouer à aucun poste. Cependant, il n’a pas clarifié ses préférences, laissant planer le doute sur l’incident.
Pour mettre fin à la polémique, Florentino Pérez a pris les devants. D’après Defensa Central, le président du Real Madrid a personnellement appelé Federico Valverde pour lui réaffirmer la confiance totale du club, ainsi que le soutien de Xabi Alonso. Lors de cet échange d’une dizaine de minutes, il lui aurait conseillé de ne pas se laisser influencer par les tentatives de déstabilisation médiatique.
[totalpoll id= »812288″]Très touché par cette démarche, Valverde aurait conclu la discussion par une promesse mutuelle avec son président : continuer à remporter des titres ensemble.
Une trêve internationale à gérer
Cap sur la trêve internationale
L’attention se porte désormais sur la prochaine fenêtre internationale. Federico Valverde a été convoqué avec l’Uruguay pour deux amicaux de préparation au Mondial 2026, face à la République Dominicaine et à l’Ouzbékistan.
Cependant, selon Marca, la sélection pourrait lui accorder du repos en raison du long déplacement en Malaisie et du caractère non officiel de ces matchs. Le manque de fraîcheur physique du milieu madrilène, déjà critiqué lors du derby, pourrait peser dans cette décision.
Valverde devrait retrouver la Celeste en novembre, à l’occasion de confrontations plus exigeantes face au Mexique et aux États-Unis.
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