Ricardo Carvalho : «Ce que Mourinho nous disait à chaque Clasico»

Le Real Madrid et le FC Barcelone s’affrontent samedi lors du premier clasico de la saison. A la veille de ce match, Ricardo Carvalho, ancienne star du club Madrilène évoque le message de José Mourinho à chaque match contre les Blaugranas.

Le Real Madrid a toujours aimé le Clasico. Face aux rivaux Catalans, le club de la capitale Espagnole sort le grand jeu, les joueurs sont motivés et essaient de donner le meilleur d’eux-mêmes.  La période où José Mourinho a été sur le banc du Real Madrid marque l’histoire des Clasicos. Avec le Spécial One, la rivalité a atteint son paroxysme avec le FC Barcelone de Pep Guardiola.

José Mourinho a apporté quelque chose de nouveau dans les Clasicos et son Real Madrid est souvent méconnaissable face au FC Barcelone. Il a apporté plus d’intensité aux Clasicos et Ricardo Carvalho s’en rappelle encore.

Carvalho parle du discours de José Mourinho à chaque Clasico…

 À quelques jours du Clasico entre le FC Barcelone et le Real Madrid à Montjuic en Liga, l’ancien défenseur central de Meregues, Ricardo Carvalho, est sorti du silence. L’ancien international Portugais passé notamment par Chelsea et Monaco s’est exprimé sur le message que José Mourinho avait l’habitude de faire passer avant ces grandes confrontations.

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«Mourinho nous demandait d’être intenses car, au bout du compte, c’est un Clasico et il y a beaucoup de pression. Il faut jouer, prendre du plaisir, mais il faut aussi gagner. C’est ce que Mourinho nous a dit», a déclaré l’ancien international portugais, Ricardo Carvalho dans une interview accordée au quotidien Marca.

🗣️ Ricardo Carvalho: “Mourinho vs Pep El Clásico era? Mourinho asked us for intensity because at the end of the day it’s El Clásico and there’s a lot of pressure. We have to play, enjoy it, but we have to win. That’s what Mou told us.” pic.twitter.com/UA38cpAddo

— Madrid Xtra (@MadridXtra) October 26, 2023

Ricardo Carvalho a ensuite évoqué la forte tension entre les joueurs des deux clubs. «Les Espagnols s’entendaient bien en équipe nationale, mais sur le terrain c’était différent, car la rivalité était grande», ajoute Ricardo Carvalho.