Scandale en Espagne : une légende du Real Madrid filmée ivre en pleine rue !

Espagne : Ronaldo Nazário au cœur d’une vive polémique après une apparition en état d’ébriété

Une vive polémique secoue l’Espagne ces dernières heures. Ronaldo Nazário, légende vivante du football et ancien attaquant du Real Madrid, fait l’objet d’un tollé après avoir été filmé ivre en pleine rue, alors que son club, le Real Valladolid, sombrait une nouvelle fois en Liga.

Samedi soir, alors que Valladolid affrontait le FC Barcelone dans un match crucial, Ronaldo, aujourd’hui président du club, était absent des tribunes. Pire encore : des vidéos, largement relayées sur les réseaux sociaux, le montrent quittant un restaurant madrilène dans un état d’ébriété manifeste, escorté par ses gardes du corps tentant tant bien que mal de cacher sa condition à l’aide d’un drap. Une scène qui a scandalisé de nombreux supporters.

Le timing de cet incident ne pouvait être plus mal choisi : Valladolid vient d’enchaîner une huitième défaite consécutive – une série noire inédite depuis près d’un siècle – et sa relégation en deuxième division est désormais actée. Dans ce contexte, l’attitude désinvolte de Ronaldo a mis le feu aux poudres.

La Fédération des supporters de Valladolid n’a pas mâché ses mots sur les réseaux sociaux :
« C’est ça, son héritage ? Pendant que notre club coule, il parade ivre dans les rues. Chaque jour sans vente du club nous enfonce davantage. »

Le lendemain, au lieu de calmer la tempête, Ronaldo a été aperçu dans les tribunes de la Caja Mágica, assistant à la finale du Masters 1000 de Madrid, attisant encore davantage la colère des fans. Lors du match contre le Barça, ces derniers avaient d’ailleurs jeté 60 000 faux billets de 500 euros sur la pelouse pour protester contre sa gestion et réclamer son départ.

Depuis son rachat du club en 2018, Ronaldo n’a jamais vraiment convaincu. Son manque d’implication, sa gestion décriée, et désormais cette image ternie par un comportement jugé indigne renforcent le climat de défiance. Entre le phénomène brésilien et Valladolid, le fossé semble aujourd’hui impossible à combler.