Après le coup de sifflet final, une échauffourée a éclaté impliquant Tchouameni, Rüdiger, Ceballos, Hugo Duro, et d’autres. Bien qu’il n’y ait pas eu de violence physique, des insultes ont été échangées. Aurélien a détruit un panneau publicitaire.
Le conflit s’est étendu jusqu’au tunnel des vestiaires de Mestalla. L’intensité qui régnait après le coup de sifflet de Gil Manzano a pénétré les profondeurs de Mestalla, où AS a été témoin de l’éclatement d’une mêlée impliquant Tchouameni, Rüdiger, Ceballos, Hugo Duro, des membres du staff technique et d’autres joueurs. Aucune violence physique n’a été rapportée, mais les échanges étaient chargés d’émotions et particulièrement houleux. L’atmosphère était si tendue qu’emporté par la colère, Tchouameni a frappé et brisé un panneau publicitaire installé derrière les zones d’interview.
Le joueur français était l’un des plus frustrés à la fin du match et le premier à exprimer son mécontentement sur les réseaux sociaux en déclarant : « C’est honteux ». D’autres joueurs ont rapidement réagi, tels que Lunin avec trois émojis applaudissant une photo de Gil Manzano, Camavinga affichant un émoji de frustration, et Brahim qui, ironiquement, a partagé une photo du moment du centre vers Bellingham, juste à l’instant où l’arbitre a sifflé la fin du match.
Un vestiaire « assez tendu »
La frustration au sein du Real Madrid suite aux événements de ce soir est historique. Ancelotti a évité d’utiliser le terme ‘scandale’ lors de la conférence de presse, mais il a mentionné un événement “sans précédent”. Il a critiqué la décision de Gil Manzano de siffler la fin du match au moment où Bellingham s’apprêtait à frapper un ballon qui a fini dans le but et aurait signifié un retournement de situation. Le score de 2-3 n’a pas été retenu. Cela a provoqué la colère dans le vestiaire d’Ancelotti. “C’est assez tendu”, a concédé l’entraîneur. Le panneau publicitaire en est le témoin.
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