Le PSG a une fois de plus connu une désillusion en Ligue des Champions, un scénario qui semble malheureusement familier pour le club parisien ces dernières années.
Cette fois, leur parcours a été marqué par une défaite face au Bayern Munich, une rencontre qui a basculé sur une erreur fatale du gardien Matvey Safonov. Ce dernier, un choix audacieux de l’entraîneur Luis Enrique, a été préféré à Gigio Donnarumma pour occuper les cages lors de ce match décisif. Malgré une prestation globale plutôt satisfaisante, une bourde coûteuse de Safonov a scellé le sort de son équipe, offrant au Bayern une opportunité qu’ils n’ont pas manquée d’exploiter.
Face aux critiques, Luis Enrique a tenu à adopter une posture collective et solidaire, refusant d’attribuer l’échec à un individu en particulier. « La responsabilité est globale, qu’elle soit bonne ou mauvaise. Il ne faut pas chercher des héros ou des coupables », a-t-il déclaré sur Canal+, appelant à ne pas stigmatiser son gardien et à analyser la performance dans son ensemble. Malgré cette défaite, le PSG devra rapidement se remobiliser pour sauver sa saison européenne, sous peine de voir ses ambitions continentales s’éteindre prématurément.
L’entraîneur espagnol, Luis Enrique, a pris l’entière responsabilité de ce troisième revers en Ligue des Champions, s’exonérant ses joueurs de toute culpabilité. Contrairement à ces derniers, qui ont pointé du doigt les décisions arbitrales après la rencontre, Enrique a refusé de chercher des excuses. « Je ne suis pas d’accord sur le fait qu’on cherche des excuses. Notre projet est très intéressant, très prometteur. Même quand on perd, on veut attaquer », a-t-il affirmé avec conviction.
Assumant pleinement son rôle, il a poursuivi : « S’il y a un responsable, c’est moi. Vous avez trouvé le coupable, j’accepte les critiques. » Par ces propos, Luis Enrique a non seulement cherché à protéger ses joueurs, mais également à réaffirmer sa vision offensive et ambitieuse du projet parisien, même dans l’adversité. Une attitude qui reflète sa volonté de maintenir le cap malgré les difficultés rencontrées en compétition européenne.
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