Vladimir Petkovic, favori pour succéder à Djamel Belmadi à la tête de l’équipe nationale d’Algérie, reçoit une nouvelle décevante venant d’Asie.
Branko Ivankovic a été désigné comme le nouveau sélectionneur de l’équipe nationale de football de Chine, un revirement inattendu pour Vladimir Petkovic. Ce développement le place dans une situation où l’offre de la Fédération Algérienne de Football (FAF) pour diriger l’équipe nationale d’Algérie devient son unique alternative.
Pour Petkovic, qui se trouvait à la croisée des chemins entre la Chine et l’Algérie, la désignation d’Ivankovic à la tête de l’équipe chinoise supprime une option majeure. L’entraîneur suisse comptait sur l’offre chinoise pour renforcer sa position et négocier de meilleures conditions avec la Fédération Algérienne de Football (FAF). Mais avec cette possibilité désormais hors de portée, Petkovic se retrouve en situation délicate, disposant d’une seule opportunité.
Cette évolution inattendue pourrait être perçue comme un coup dur pour Petkovic, qui aurait pu espérer jouer sur la rivalité entre la Chine et l’Algérie pour améliorer sa position lors des négociations. Avec l’élimination de la Chine comme option, il se pourrait que Petkovic se retrouve dans une posture moins avantageuse pour négocier les conditions de son potentiel contrat avec la FAF. D’autant plus que des rapports des médias chinois suggèrent que c’était l’agent de Petkovic qui avait initialement soumis le CV du coach à la Fédération Chinoise, dans l’espoir de stimuler des termes de négociation plus favorables avec l’Algérie.
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