Suite à son départ de la tête de l’équipe nationale algérienne, Djamel Belmadi a rejeté une proposition émanant d’un pays africain.
La Fédération de football de Tanzanie a récemment tendu la main à Djamel Belmadi, l’ex-sélectionneur de l’Algérie, avec une offre inattendue. Après le licenciement de leur entraîneur Adel Amrouche, dû à l’élimination de l’équipe dès la phase de groupes de la CAN 2024, les dirigeants tanzaniens ont vu en Belmadi le candidat idéal pour prendre la relève.
Toutefois, le salaire proposé par la Tanzanie, s’élevant à environ 25 000 euros par mois, n’approchait pas les 208 000 euros mensuels que Belmadi percevait avec l’Algérie. Cette offre, jugée insuffisante, a suscité des interrogations sur les intentions réelles de la Fédération tanzanienne.
Belmadi, ayant quitté son poste au sein de l’équipe algérienne en janvier 2024 après un parcours couronné de succès pendant six ans, est à la recherche d’un nouveau projet ambitieux. Il aspire à diriger un grand club du Golfe ou une équipe évoluant dans les divisions supérieures du football français. Bien que son profil suscite l’intérêt de nombreuses équipes, le niveau de rémunération qu’il commande reste un frein pour plusieurs d’entre elles.
[totalpoll id= »794558″]Forte de son expérience et de ses succès, Belmadi est prêt à embrasser de nouveaux défis. Néanmoins, il ne souhaite pas s’engager avec une autre sélection africaine pour l’instant. Malgré plusieurs propositions alléchantes, Belmadi semble désormais privilégier une carrière en club plutôt qu’à la tête d’équipes nationales.
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