Quelques semaines après l’annonce de sa retraite internationale, d’anciens propos de Max Gradel ont refait surface. L’ancien capitaine des Éléphants de Côte d’Ivoire est revenu sur ses débuts difficiles dans le monde du football.
Max Gradel a partagé que son père s’opposait fermement à ce qu’il joue au football dans la rue, craignant que cela ne le conduise à de mauvaises influences, voire à la délinquance. Son père préférait qu’il se consacre entièrement à ses études, jugeant que c’était un chemin plus sûr pour son avenir.
Chaque fois que Max jouait au football, et que son père le découvrait, il subissait de sévères réprimandes. Les punitions n’étaient pas limitées à de simples reproches. Son père allait jusqu’à le frapper sur les doigts ou l’enfermer dans sa chambre. Parfois, après un match de rue, Max Gradel était battu avec une petite ceinture.
Malgré ces sanctions, la passion de Max pour le football restait plus forte. Il ne pouvait pas résister à l’appel du ballon, même en sachant qu’il risquait une punition en rentrant chez lui.
Ces épreuves ont contribué à forger sa détermination. Elles lui ont appris, dès son plus jeune âge, à prendre des décisions cruciales et à se battre pour ce qu’il désirait vraiment dans la vie.
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