La récente démission de Malick Daf du banc de la sélection des U20 a jeté une lumière crue sur une question dérangeante pour le sélectionneur national sénégalais, Aliou Cissé.
En effet, lors de sa première déclaration publique sur l’affaire des superviseurs absents lors du Mondial qatari de fin 2022, Cissé a évité de fournir des explications claires, laissant les observateurs perplexes.
Ses commentaires ironiques et la controverse entourant son attitude envers les superviseurs, jetant ainsi un éclairage sur les enjeux potentiels pour l’avenir de l’équipe nationale sénégalaise.
Lors de sa rencontre avec la presse, Aliou Cissé a été confronté à la question brûlante des superviseurs absents au Qatar.
[totalpoll id= »794558″]D’une manière ironique, il a répondu en demandant au journaliste du Quotidien : «Ce sont les superviseurs qui vous ont envoyé ?».
Une réponse qui a suscité davantage de questions que de réponses. Cissé a ensuite éludé la question sur son comportement au Qatar, laissant planer le mystère sur son attitude pendant le tournoi.
Une déclaration qui a surpris est celle où Cissé a déclaré que «au sein du staff, on a des outils pour visionner ce que l’adversaire va faire», faisant probablement référence à l’utilisation de la vidéo pour l’analyse des adversaires.
Cela contraste avec son expérience lors de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) au Cameroun, où il avait travaillé avec des superviseurs et les avait remerciés pour leur collaboration après que le Sénégal a remporté le trophée continental.
Cette apparente minimisation de l’importance de la supervision a suscité des interrogations sur la stratégie de Cissé pour l’avenir.
L’article mettra en lumière la différence d’approche entre Aliou Cissé et d’autres sélectionneurs expérimentés, tels que Didier Deschamps, qui ont régulièrement souligné l’importance de la supervision.
Par exemple, lors du Mondial, Deschamps avait fait appel à «tous les entraîneurs des différentes sélections de France» pour renforcer son équipe au Qatar. Cette comparaison mettra en évidence les choix divergents faits par les sélectionneurs et suscitera des réflexions sur la meilleure approche pour mener une équipe nationale à la victoire.
L’article conclura en soulignant le mystère persistant entourant les réponses d’Aliou Cissé, la controverse sur son attitude envers les superviseurs, et les implications potentielles pour l’équipe nationale sénégalaise à l’approche de la prochaine Coupe d’Afrique des Nations (CAN).
Les observateurs du football resteront attentifs à toute évolution dans cette affaire et aux choix stratégiques futurs de Cissé.
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