Ismail Jakobs, footballeur né en Allemagne et évoluant actuellement au Sénégal, a récemment expliqué les motivations profondes derrière son choix de représenter le Sénégal au niveau international.
Selon lui, cette décision transcende largement l’acte de porter un maillot national; elle touche à une question de lien et d’appartenance.
« On se sent plus spécial lorsqu’on représente une nation africaine », a affirmé Jakobs.
Le joueur a accentué la distinction dans la manière dont on perçoit le fait de jouer pour une nation européenne par rapport à un pays africain. Il a notamment mis l’accent sur le soutien inconditionnel qu’un joueur ressent lorsqu’il représente le Sénégal.
[totalpoll id= »794558″]« Si un joueur représente le Sénégal, il aura l’impression d’être soutenu par tout le pays même s’il n’est pas encore convoqué en Équipe Nationale. C’est quelque chose qu’il n’y a pas en Europe. Au Sénégal, on vous soutient peu importe où vous jouez, c’est très spécial ».
Cette déclaration souligne l’importance de la solidarité et du soutien communautaire dans l’univers du football sénégalais. Quel que soit le pays où un joueur fait sa carrière, le soutien de sa patrie d’origine demeure inébranlable et intense.
Ainsi, la décision d’Ismail Jakobs de jouer pour le Sénégal illustre son profond attachement à ses origines et à la culture du football africain.
Ismail Jakobs revient sur les instructions de Aliou Cissé à la CAN 2023
« Effectivement, Krépin Diatta et moi jouons en tant que pistons à l’AS Monaco et également en équipe nationale sénégalaise. L’entraîneur (Aliou Cissé) a décidé d’expérimenter cette formation en nous intégrant tous les deux, et je pense que cela a plutôt bien fonctionné. Le système est similaire, c’est vrai, mais il se pourrait qu’avec le Sénégal, nous adoptions une approche un peu plus défensive par rapport à notre style de jeu en club. Cependant, les principes de base restent les mêmes et les joueurs se sentent confortables avec cette tactique« , a déclaré le jeune international sénégalais de 24 ans lors d’une interview avec L’Observateur.
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