Le Comité National Olympique et Sportif Français connait ce jeudi un nouveau président. Ceci, à un an des JO (Jeux Olympiques) Paris 2024.
À un an des JO de Paris 2024, David Lappartient a été élu président du Comité national olympique et sportif français (CNOSF) ce jeudi. Il succède ainsi à Brigitte Henriques. Elle avait laissé le poste vacant en démissionnant le 25 mai dernier après plus d’un an et de demi d’une crise interne interminable. Une crise cumulée aux conflits et aux rivalités profondes. David Lappartiente, maire de Sarzeau, président de l’Union cycliste internationale (UCI) et membre du CIO, a été élu avec 80% des voix par le conseil d’administration face à Emmanuelle Bonnet-Oulaldj, la coprésidente de la Fédération sportive et gymnique du travail (FSGT). Le mandat du nouveau président devra être confirmé par un vote d’une assemblée générale programmé le 13 septembre.
Début d’une nouvelle ère à un an des JO Paris 2024
L’élection de ce poids lourd des institutions sportives françaises ouvre une nouvelle ère. Nouveau départ pour le Comité National Olympique et Sportif Français à seulement un an des JO Paris 2024. Le Comité National Olympique et Sportif Français a traversé la plus grave crise de son histoire. Ceci, pendant près d’un an et demi, jusqu’à la démission surprise de Brigitte Henriques le 25 mai. L’ex-présidente avait jeté l’éponge après des mois de luttes intestines.
Mais aussi, d’une guerre des clans qui avait plongé cette institution dans une situation « intenable ». Selon cenque rapporte une source proche des arcanes sportives. David Lappartient a promis dans son programme d’œuvrer au « rassemblement » et à l’ »unité ». Il s’est alors engagé à exercer cette fonction de manière bénévole. Il a aussi promis de « réduire la voilure de manière sensible » quant à ses différents mandats, assurant notamment qu’il démissionnerait en cas d’élection de son poste de président du Parc national régional du Morbihan (PNR).
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