L’UEFA devrait transférer la finale de la Ligue des champions à Wembley si certaines assurances peuvent être réunies.
La décision du gouvernement de placer la Turquie sur la «liste rouge» à haut risque pour les voyages internationaux vendredi soir a sapé le projet de mettre en scène la pièce maîtresse entièrement anglaise du 29 mai à Istanbul.
Les officiels de l’instance dirigeante du football européen rencontreraient virtuellement des fonctionnaires du Département du numérique, de la culture, des médias et des sports (DCMS) lundi avec une décision attendue dans les prochaines 24 heures.
Le secrétaire aux Transports, Grant Shapps, a déclaré vendredi que les supporters de Chelsea et de Manchester City ne devraient pas se rendre en Turquie pour le match, mais a ajouté que le gouvernement était «très ouvert» à l’organisation ici.
[totalpoll id= »794558″]L’UEFA est réputée avoir exclu tout lieu au Royaume-Uni, à l’exception de Wembley, et rechercher des garanties d’entrée sans quarantaine dans le pays pour ses délégués, ainsi que pour les médias, les sponsors et autres VIP.
Il souhaite également que le gouvernement veille à ce qu’il puisse égaler les 22500 capacités promises pour la phase de groupes et les 16 derniers matches de l’Euro 2020.
L’insistance de l’UEFA sur Wembley exigerait que la finale des barrages du championnat soit déplacée.
Il est entendu que l’EFL envisagerait toutes les options – y compris la modification des arrangements pour ces rencontres pour accueillir la finale de la Ligue des champions – si elle était contactée par l’UEFA.
Cela peut signifier que les matchs se jouent à des dates différentes ou dans des lieux alternatifs.
La Turquie a été placée sur la «liste rouge» du gouvernement après une augmentation des infections à coronavirus dans le pays.
Il est entendu que l’UEFA a été informée de l’intention du gouvernement de prendre cette décision bien avant qu’elle ne soit confirmée publiquement vendredi soir.
Les relations entre les deux sont solides après que le président de l’UEFA, Aleksander Ceferin, ait reconnu le rôle clé joué par le gouvernement pour faire pression sur les clubs qui menaçaient de former une Super League européenne séparatiste.
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