Pour éviter une lourde sanction pour dopage, la stratégie de Paul Pogba dévoilée

Le ciel est tombé sur la tête de Paul Pogba. Il est testé positif à la testostérone, un produit prohibé dans le domaine du football.

Alors qu’il continue de régler ses problèmes physiques, Paul Pogba fait face à une nouvelle difficulté. L’international français est testé positif à la testostérone et risque une grosse sanction qui peut aller jusqu’à quatre années. Mais, le champion du monde 2018 compte tout faire pour que la sanction soit réduite.

Selon La Gazzetta dello Sport, Paul Pogba va demander une contre-expertise de son test positif à la testostérone. Le joueur de la Juventus souhaite tout faire pour prouver sa non-intentionnalité et ainsi éviter une suspension de 4 ans. Le même scénario s’est produit pour beaucoup de joueurs dont André Onana il y a quelques années.

Paul Pogba proche d’une résiliation de son contrat à la Juventus ?

Depuis son retour à la Juventus, Paul Pogba a du mal à assumer son statut. L’international français est fauché dans son élan par des blessures. Des pépins physiques réguliers qui ne lui permettent pas de rester constant dans ses performances.

[totalpoll id= »794558″]

En plus des blessures répétitives, s’ajoute désormais l’histoire de dopage. Alors, les dirigeants turinois pourraient prendre la décision de rompre son contrat. D’après les informations de Sky Sports, le milieu de terrain de 30 ans aurait avoué à sa direction avoir pris ce produit interdit.

À l’annonce de cette mauvaise nouvelle pour Paul Pogba, Didier Deschamps, son sélectionneur, a décidé de lui envoyer un message de réconfort.

“Je suis très surpris. Je n’ai pas les éléments. Il y a tellement de choses qui s’accumulent et lui tombent dessus. C’est difficile. J’ai échangé avec lui en message. J’aurai le temps de parler plus avec lui dans les jours qui viennent, pour avoir plus d’éléments. Je ne peux pas imaginer ça, le connaissant par rapport à tout ce qu’il a dans la tête. Je me rappelle de discussions avec lui sur le vaccin et le COVID. La substance, elle y est, à moins d’une contre-expertise. Il faut savoir le pourquoi du comment. Je ne pense pas que lui-même sache malheureusement. Il faudra du temps. C’est dur pour lui. Je l’ai toujours soutenu. C’est un nouveau fait négatif« , a-t-il fait savoir.