Xabi Alonso impose une nouvelle ère au Real Madrid, rompant avec la gestion souple d’Ancelotti
Dès son arrivée, le technicien espagnol a marqué son territoire en réformant les hiérarchies du vestiaire. Son objectif ? Bâtir un groupe discipliné et uni, quitte à écarter certains cadres historiques.
Parmi les premières victimes de cette révolution figure Antonio Rüdiger. Sous Ancelotti, le défenseur central était un pilier, apprécié pour son physique, son leadership et ses performances en Ligue des champions. Mais Alonso, lui, y voit une attitude incompatible avec ses exigences : selon plusieurs sources, il lui reproche un comportement arrogant, voire conflictuel.
Un incident lors de la finale de la Coupe du Roi aurait scellé son sort. Alonso l’aurait écarté temporairement avant d’envisager un départ définitif. Bien que Rüdiger soit un joueur respecté, le nouvel entraîneur semble prêt à sacrifier son expérience au profit d’une équipe façonnée à son image.
Plusieurs clubs saoudiens suivent la situation de près, et le Real Madrid pourrait faciliter un transfert. Ce choix radical illustre la détermination d’Alonso à tourner la page Ancelotti.
En écartant un cadre aussi influent, le coach envoie un message clair : désormais, personne n’est intouchable. Et cette éviction pourrait n’être que le prélude d’un profond remaniement.
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