alves prison

dans

Alves a rompu le silence de la prison : « L’égratignure est due au fait qu’elle s’est… »

Par

le


L’ancien joueur de football brésilien, Dani Alves, a brisé le mutisme dans une interview donnée à « La Vanguardia« .

Le 20 janvier, Dani Alves a été admis à Brians 2. Il a été accusé de viol présumé sur une jeune femme de 23 ans. Le juge a décidé de le placer en détention provisoire sans caution en raison du risque élevé de fuite. Cinq mois plus tard, le Brésilien a brisé le silence dans une interview accordée à « La Vanguardia ».

Outre le fait d’exposer les raisons de sa décision de témoigner, elle a opté pour expliquer au magistrat les motifs. Ces motifs qui l’ont poussée à modifier son récit à trois reprises : « Je n’ai pas dit la vérité. J’étais effrayée de perdre Joana, c’est pour cela que j’ai menti. J’ai lutté avec acharnement pour préserver mon mariage de l’adultère, sans prendre en compte les répercussions que j’endure ».

Alves a rompu le silence

Dani Alves fait des révélations

Les événements se sont passés dans la nuit du 30 décembre à la discothèque Sutton de Barcelone. Alves se rappelle qu’il a décidé d’escorter la personne présumée victime aux toilettes parce que « nous avons dansé ensemble pendant un certain temps. Nous n’avons pas échangé de baiser. Cependant, il était clair d’après nos mouvements et nos regards que nous étions attirés l’un par l’autre ».

Cristiano Ronaldo doit-il prendre sa retraite internationale avec le Portugal?

« Jamais elle ne m’a ordonné de cesser. Elle n’a pas manifesté le moindre signe de vouloir partir. La porte restait ouverte constamment, lui permettant de s’en aller, car je suis demeuré assis sur la cuvette des toilettes pratiquement tout le temps », relate-t-il au sujet des événements survenus dans les toilettes de la salle de danse susmentionnée.

Dani Alves affirme sans hésitation que : « les allégations selon lesquelles j’aurais forcé la plaignante à effectuer des actes sexuels sont fausses. La légère égratignure qu’elle a subie est due au fait qu’elle était à genoux pendant qu’elle me faisait une fellation. Il n’y a aucune trace de violence sur son corps pour étayer ses accusations selon lesquelles je l’aurais violemment poussée dans la salle de bain. »

Commentaires

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *