Barcelone, comme le reste des équipes en Espagne, essaie de garder ses joueurs en pleine forme pendant cette quarantaine actuelle liée aux coronavirus.
Antonio Gomez et Andres Martin, deux des entraîneurs de fitness de Barcelone, ont expliqué les méthodes derrière le travail qu’ils L’objectif du programme qui leur a été donné est non seulement d’éviter une baisse de leur préparation, mais aussi de maintenir la charge de travail précédente afin que, si le football reprend dans un avenir proche, les joueurs peut également revenir en bon état.
De plus, l’équipe de Barcelone fait contrôler son poids afin d’éviter une augmentation de son pourcentage de graisse.
Gomez et Martin sont tous les deux en contact quotidien avec les joueurs et ont un contrôle total sur ces questions.
[totalpoll id= »794558″]» Malgré le fait qu’en tant que société, nous n’étions pas très conscients de la pertinence et des mesures qui allaient être prises, nous, au club, avons essayé d’anticiper et d’élaborer un plan pour chaque joueur qui essaie de simuler le travail fait dans une semaine régulière « , a déclaré Gomez. » La dynamique de la charge de travail est très similaire à notre micro-cycle habituel.
« Nous avons mis en place deux pics de charge de travail, un au milieu et un à la fin de la semaine qui simulent les semaines où nous avons deux jeux et un jour de congé. « » Les séances d’endurance se font sur un vélo stationnaire ou un tapis roulant « , a expliqué Martin.
» Le but est que les joueurs effectuent un travail intervallique où ils atteignent des vitesses et des fréquences cardiaques qui peuvent simuler la compétition.
« Comme ils ne peuvent pas sortir et nous ne pouvons pas analyser les données GPS, après chaque séance d’entraînement, ils nous envoient le PES (échelle d’effort perçu), la distance et le rythme de course afin d’analyser la charge de travail et ainsi pouvoir faire des modifications en fonction de celle-ci. » En discutant de l’effort des joueurs, les résultats du travail de Gomez et Martin semblent porter leurs fruits.
« Les joueurs rapportent des valeurs légèrement plus élevées (7-8 par rapport à la séance moyenne de 5,5), ce qui peut être lié au stress thermique, car les séances se déroulent à l’intérieur et le corps n’est pas en mesure de dissiper la chaleur aussi efficacement qu’il fait à l’extérieur « , ont noté Martin et Gomez. » [Cela est dû au] stress mécanique généré par les exercices auxquels ils ne sont pas si habitués, couplé au fardeau émotionnel de ne pas pouvoir quitter la maison et à la non-spécificité de l’exercice. «
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