Le président de la Liga, Javier Tebas s’est présenté devant les médias au sortir de la réunion avec les clubs du Championnat espagnol qui militent contre la Super League. Un entrevue pour évaluer la situation après que la Commission de la culture et du sport qui s’est tenue mardi au Congrès ait approuvé deux des trois amendements que l’association patronale des clubs considérait comme substantiels.
Face à la presse, le parton de la Liga a avoué qu’il est difficile de rivaliser avec le président du Real Madrid Florentino Perez, principal protagoniste du tout nouveau projet sportif. Il affirme que ce dernier a une importante influence dans le pays, malgré le soutien indéfectible de 39 clubs du Championnat ibérique prêts à partir en grève dès ce week-end.
« L’influence du président du Real Madrid est très importante dans le domaine du sport et dans d’autres domaines dans ce pays. Cette phrase qui a été ajoutée à la loi nous empêche de faire ce qui a été fait en Italie, à savoir que les joueurs qui jouent dans d’autres compétitions ne jouent pas en Serie A. Cela nous empêche de le faire (interdire aux joueurs qui jouent une éventuelle Super League de jouer aussi la Liga), mais nous avons d’autres moyens de le faire. Cela nous empêche de le faire, mais nous avons d’autres mécanismes et nous continuerons à nous en servir. », a avoué Javier Tebas.
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