Ernesto Valverde a fait confiance à Ousmane Dembele pour le match contre Séville dimanche soir au Camp Nou, laissant sur le banc des remplaçants Antoine Griezmann. Certains peuvent supposer que c’était un message adressé à l’ancien homme de l’Atletico Madrid après un début moyen, mais il semblerait qu’il s’agisse d’une décision technique basée sur les blessures d’autres joueurs de Blaugrana lors de cette campagne.
C’est pourquoi c’était au tour de Dembele, et quand il est en forme, il est merveilleux. Il l’a montré dans les 45 premières minutes au cours desquelles il a été très actif sur l’aile. Son objectif donnait un aperçu de ce qu’il pouvait apporter: compétence, rapidité et objectifs. Un jeu dans lequel il aurait pu revendiquer une place de départ dans le prochain Clasico.
Puis l’autre côté de Dembele est apparu, ce qui a incité les fans et ses collègues douter de lui.
Il n’a pas réussi à s’adapter aux besoins tactiques de l’équipe et sa possession était lente. Puis, à la fin, après qu’Araujo ait vu rouge, Dembele a dit quelque chose de déplaçant à l’arbitre Mateu Lahoz et a vu rouge, une erreur enfantine qui le chasserait fort probablement du Clasico.
[totalpoll id= »794558″]Les Catalans doivent vivre quotidiennement avec ce côté obscur de Dembele. Son comportement enfantin est dérangeant pour tout le monde. Il a le goût de rester éveillé jusqu’aux premières heures de la nuit à jouer à des jeux vidéo ou à regarder la télévision. Il ne se présente pas aux examens médicaux programmés par le club et ne suit pas le régime approprié pour un athlète d’élite.
Et puis il se fait expulser à la dernière minute d’un match que son équipe gagne 4-0. À Barcelone, ils ne savent pas trop quoi faire avec lui.
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