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Succession d’Ancelotti : Ni Klopp ni Zidane, Fabrizio Romano présente les 5 favoris de Florentino Perez

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Florentino Pérez ne veut plus laisser de place au hasard. Si Carlo Ancelotti ne reste pas sur le banc du Real Madrid la saison prochaine, le président merengue n’a qu’un nom en tête : Xabi Alonso. Selon Fabrizio Romano, le coach du Bayer Leverkusen coche toutes les cases.

Le Real Madrid n’est pas habitué à perdre. Encore moins de cette manière. L’humiliation à l’Emirates Stadium contre Arsenal (3-0) a réveillé tous les vieux démons. Les critiques sont revenues, bruyantes, tranchantes. Et comme souvent à Madrid, c’est l’homme sur le banc qui encaisse en premier.

Carlo Ancelotti, malgré son palmarès et le respect qu’il inspire, sent bien que son fauteuil chauffe. La Liga s’éloigne, la Ligue des champions devient un mirage, et la patience des supporters s’effrite. L’Italien a encore la Coupe du Roi pour sauver la face, mais à Madrid, cela ne suffit pas toujours.

Florentino n’attend pas : il veut Alonso

Selon Fabrizio Romano, il n’y a plus de mystère. « Xabi Alonso est l’option 1, 2, 3, 4 et 5 », aurait soufflé le journaliste italien, proche du dossier et relayé par Defensa Central. Une façon claire de dire que le Real Madrid n’envisage aucun autre profil. Zidane ? Trop de passif. Klopp ? Trop incertain. Raúl ? Encore trop tendre.

Florentino Pérez veut du sang neuf, mais avec un ADN madridista. Et sur ce terrain, Xabi Alonso coche tout : le jeu, l’élégance, le charisme et la formation allemande. Il connaît la maison, parle le vestiaire, incarne une nouvelle génération d’entraîneurs. Et ce qu’il fait avec Leverkusen, invaincu la saison dernière, impressionne toute l’Europe.

Alonso n’a rien fermé… et ça intrigue

L’intéressé, de son côté, reste flou. Interrogé récemment sur son avenir, Xabi Alonso a refusé de s’engager à long terme avec Leverkusen, malgré un contrat jusqu’en 2026. Contrairement à l’année dernière, où il avait rapidement confirmé sa volonté de rester, il laisse cette fois la porte entrouverte.

Un signe ? Sans doute. Car le timing colle. Le Real cherche un nouveau souffle, une figure moderne, capable de remettre le club sur les rails sans renier son identité. Et dans ce contexte, Alonso devient plus qu’un simple candidat : il incarne déjà la prochaine étape.

Xabi Alonso

Même si Ancelotti reste un monument du club, les signaux convergent : le Real prépare l’après. Florentino veut reprendre la main, créer une dynamique nouvelle autour de jeunes stars comme Bellingham, Vinicius, Mbappé ou Tchouaméni. Pour ça, il a besoin d’un coach en phase avec cette ambition. Pas d’un gestionnaire, mais d’un bâtisseur. Et Xabi Alonso coche toutes les cases.

Si l’histoire d’Ancelotti touche à sa fin, celle de Xabi Alonso avec Madrid semble prête à s’écrire à nouveau. Non pas comme joueur, mais comme architecte d’un nouveau cycle. Florentino a choisi. Maintenant, tout dépend du timing.

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