La Fédération italienne de football (FIGC) a annoncé, dans un communiqué publié sur ses plateformes officielles mercredi en fin de matinée, qu’elle avait infligé à José Mourinho une suspension de deux matches et une amende de dix mille euros.
Une sanction qui découle du fait que, la veille, l’entraîneur portugais avait reçu un ordre d’expulsion pour des paroles adressées à l’équipe d’arbitres dirigée par Marco Piccinini, lors de la défaite subie par ‘son’ AS Roma en visite à Cremonese, 2-1.
«À la deuxième minute de la deuxième mi-temps, il a contesté avec véhémence et provocation une décision arbitrale, réitérant ce comportement au moment de l’ordre d’expulsion», peut-on lire dans le document partagé par l’instance.
[totalpoll id= »794558″]Il est également reproché au Special One d’avoir, après le coup de sifflet final, dans le stade Giovanni Zini, prétendument «pénétré, même si c’était avec permission, dans le vestiaire de l’arbitre, en s’adressant au quatrième arbitre avec des expressions et des sous-entendus gravement offensants».
Cet épisode a également conduit à l’ouverture d’une enquête par la FIGC, qui va maintenant tenter de découvrir ce qui s’est exactement passé entre l’entraîneur des Giallorossi et Marco Serra, le quatrième arbitre du match de la 24e journée de Serie A.
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